Keyakku, le tant attendu (atchoum) masochiste ! [ A fini reuh ]

Nom: (ils appellent c'te couleur VIOLET ? O_O... )
Keyakku.

Prénom:
Kuroyume.

Surnom*:
Euh.. A vous de trouver hein..

Âge:
17 physiquement.

Race:
Mi humaine, mi vampire... Non, disons, Humain Modifié.

Date de Naissance humaine*:
24 Février 1902. (Ma mienne >0<) Mais a subi divers expériences, donc immortel.

Emploi:
Hum... Disons... S'amuse à espionner la Night Class... Echappeur de chargé de discipline, ça compte ? xD

...

Le Caractère:
Lorsque quelqu'un prononce son prénom. Le premier mot qui lui vient à l'esprit et sans aucuns doute et sans hésitation celui ci => Ma-so-chi-ste. En effet, Keyakku est doté d'un caractère spécial, du à ses origines, qu'il fait qu'il fait preuve d'un extrême masochisme envers les personnes qu'il prend pour idôles. C'est-à-dire pas une multitude de personnes non plus, mais dans ses paroles et ses actes, on sent assez souvent son masochisme remonter. De ce fait, il est un peu niais sur les bords en présence de son maître, et si je pouvais je dirais même qu'il fait exprès pour se faire taper dessus. Qui sait... Il témoigne aussi d'une extrême gentillesse envers Egnyris et Bélial et se retrouve dans la position du fidel servant.
Cela dit, il peut aussi se trouver être un sadique en herbe, héritant du sadisme de sa maîtresse. Mais il ne le montre que rarement ou lorsqu'il n'est pas de bonne humeur, quand il n'a pas été massacré ou autre...
Il se trouve que Keyakku est assez susceptible et lunatique, mais légèrement. Sinon, il est d'une bonne humeur assez constante, voir même éxubérante. Pretexte dont il se sert souvent pour se faire frapper. Il aime bien jouer les innocents et dépités en disant un "Mouais, t'es pas si fort que ça en fait hein..." lorsque quelqu'un le menace et ne souhaite pas le frapper.
Il va souvent dans des endroits mal fammés comme les bars où les rues sombres pour voir si des gens potentiellement méchant ne seraient pas dans le coin. S'il vient à sauver des gens, c'est uniquement par interêt, sachant que les ravisseurs s'en prendront à lui plus tard. Mais il n'est que réellement satisfait que lorsque Egnyris s'occupe de lui. Il a déjà entendu parler d'un certain Bélial de la bouche d'Egnyris, mais ne l'a jamais réellement rencontré en personne. Il lui voue un culte en sachant ses actes, sans pour autant avoir une bonne raison. Mais dès qu'on aligne trois mots, cela suffit à Keyakku pour être fan (enfin... modéremment) encore plus si c'est sa maîtresse qui parle de la dîte personne.
Il ne supporte pas les autres personnes masochistes qu'il rencontre, croyant que celles-ci sont venues lui piquer sa maîtresses ou d'autres psychopathe du genre (car, oui, il est légèrement paranoïaque) et c'est souvent avec ses gens là qu'il perd les pédales et devient un vrai sadique, pour le plus grand bonheur de celui qui se trouve face à lui évidemment...

Le Physique:
( j'suis pas douée au description physiques )
Keyakku est un garçon plutôt mignon aux premiers abords, de quoi se dire "Pourquoi tous les mecs mignons sont soit gays, soit masochistes ou complètement psychopathes ? ".
Il a des cheveux blanc souvent coiffés en bataille. Il arbore aux pointes de ses cheveux, quelques mèches bleurs. Et est doté de yeux d'une couleur cyan profonde. Une peau tellement blême qu'on pourrait croire qu'il est mort... Forcément, il a des cicatrices un peu partout mais comme il cicatrise vite, aucune n'est vraiment visible d'autant plus que sa pâleur les caches bien, sauf une seule. Une au niveau de son torse, assez profonde et grande, toujours rouge. Comme si elle venait d'être faîte. Evidemment, elle le lance toujours lorsqu'il reçoit des coups assez mal placé et, même s'il n'est pas du genre supplieur, fais preuve d'un énorme effort pour supplier celui qiu lui fait face de ne pas toucher cette cicatrice...
Il met assez souvent des accessoires comme ses grosses lunettes bleu genre il revient de la montagne, et une chaîne en argent autour de son cou. Il a aussi un pendentif en forme de croix soutenu par une ficelle noire... Et si ses lunettes bleues ne sont ni sur son nez, ni sur le sommet de son crâne, c'est qu'il porte ses gros écouteurs autour du cou, sans forcément écouter la musique.
Keyakku n'a pas de style précis et, honnêtement, il n'est pas du genre "AMAGAD ME SUIS CASSE UN ONGLE", il est plutôt le style de garçon qui, encore à moitié endormi, prend des habits au hasard dans son armoire. Donnant des résultats parfois louffoque, parfois classe. La plupart de ses pantalons sont des jeans. Bleus et noirs. Certains déchirés, d'autre troués et encore d'autre dans un état impeccable. Ses tee-shirts sont, pour la plupart, de couleur unie. Assez souvent blanc, noir ou violet. Pas de couleur tape-à-l'oeil. Mais il préfère mettre des chemises pour la plupart du temps, blanche ou noire et parfois a carreaux; qu'il porte magnifiquement bien.
Kuro met des vestes qu'il ne boutonne jamais ou très rarement, ne sentant pas beaucoup le froid (et aimant cela de toutes façons). Ses vestes ont, en général toujours, des poches pour qu'il puisse enfoncer ses mains dedans ou enfouir certains objets.
Il a un smoking, mais il ne l'a jamais mis. Et forcément, il a l'uniforme de la Day Class, qu'il aime bien...

La Situation Familiale:
Keyakku n'entretient que peu de rapports avec sa famille, qui n'était pas sa vraie famille par ailleurs. Et il ignore l'identité de sa vraie famille - qui a eu la gentillesse de l'abandoner dans un centre de recherches. Pour lui, la seule famille qui n'a jamais existé n'a été autre que ses camarades infortunés (ou pas) du centre de recherches sur lesquels ont été fait de multiples expériences (ou du moins, les survivants) et évidemment, sa maîtresse adorée Egnyris qu'il considère comme un véritable dieu vivant. Il aime rester près d'elle et la suivre comme un vrai toutou. D'ailleurs, il aime beaucoup quand celle-ci lui dit qu'il n'est qu'un misérable chien, une expérience qui ne mérite pas de la suivre ou de vivre tout simplement.

Pouvoir:
N'en a pas, mais est immortel.

Arme :
Pas de bazooka ? rooohh... Lance-rockets ! xD... Nan, une dague, qu'il porte constamment autour de sa cuisse & un flingue petit mais puissant dans la poche intérieur de sa veste.

Points particuliers :
Il est l'élève de Egnyris & lui voue un culte ainsi qu'a Belial.

*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*

Annexe:

Votre présence sur le forum:
Bon, disons 8/10, voir 9. C'te fois je promets d'être présente >0<

Comment avez-vous connu ce forum?
Pfff vous croyez quoi ! Quand mon clone fait un truc, j'suis au courant !

Jouez-vous déjà un personnage sur ce forum, et si oui, lequel?
Euh, plus maintenant.

Avez-vous lu le règlement et l'avez-vous signé?
Oui, c'est partit mon kiki ! (des codes comme je les aime, digne de mon clone ça tiens xD )

Ne fais l'histoire après, étant donné qu'elle risque d'être... longue xD

Mouhahaha!! Je sais, je sais...vive moi, je suis génial!! *paf*
Bah quoi? Il est très bien mon mot de passe!! Digne des plus grands! c'est vrai quoi!!! Un mot de passe débile ne peut pas être trouvé si on a pas lu le réglement!^^
Un mot de passe pareil, tu l'inventes pas! XD
Bref'ment!

Bien. Mon petit clone adoré que j'aime très fort de tout mon petit coeur de taré...*le tout dit sans respirer...performance d'acteur!* Aurais-tu l'extrême obligeance de bien vouloir éditer ta fiche afin de mettre une couleur plus lisible, s'il te plais? XD J'ai des petits n'oeils fatigués, z'ont du mal à lire le violet foncé sur le noir--'
Mise à part ça, et bien il ne te reste plus que ton histoire à faire, et tout sera parfait!^^
Je relirais plus en détail les descriptions quand ça sera écrit dans une langue plus civilisée--'
J'ai eu du mal à lire le caractère, alors bon! XD
nan j'sui spas daltonienne!! Juste bigleuse! XD

Bref, sur ce, je te laisse nous finir ton oeuvre!!^^
(Je vais vraiment finir par fonder un fan club de Bélial, n'empêche! Il a vraiment trop de succès pour un psychopathe--' m'enfin du moment que c'est toi, ça va! XD SI c'était une cruche, j'aurais hurlé! --')
Sur ce, je la ferme et retourne à mon RP! XD

Sérieux, ça te fais mal aux yeux ? xD...
Rahlala, moi j'y vois très bien et pourtant j'ai pas mes lunettes =O.
Ahlala, t'es vraiment xD... Okay j'vais te changer ça x)...

Et on se demande de QUELLE CRUCHE tu parles... =p

Edit: Et voilà ! Je voulais poster mon histoire à la suite et toi t'as posté donc mon histoire est en décalée et j'dois faire un double-post u_u... xD
* mode chiante OFF XD *

Histoire.

Chapitre I.

24 Février 1902, Londres.

Dans un laboratoire de recherches secret dont personne ne connaît l'existence, des choses horribles se passent. Les orphelins, abandonnés à leur naissance, sont recueillis pour être 'placés dans un internat'. L'internat n'est qu'un prétexte pour ne pas inquiéter les parents qui culpabilisent de laisser leurs enfants. Il est dit que cet internat est spécial, que les parents potentiellement adoptifs seront en premier dirigés vers cet internat plutôt qu'un orphelinat. Il ne faut donner aucun surplus d'argent, juste promettre de ne jamais plus garder contact avec l'enfant...
Cet internat est factice, il n'existe nulle part. A la place, les enfants sont dirigés vers ce laboratoire de recherches. Ils ne sont pas beaucoup car seuls les enfants abandonnés à la naissance sont acceptés ( or certains parents attendent en général un jour pour abandonner leurs enfants... ) ils sont jugés comme étant des être n'ayant jamais naquît et dont l'existence est parfaitement ignorée, exceptée par les anciens parents (qui ne sont, cela dit, pas censé prendre des nouvelles de leurs enfants, donc, considérés comme mort ou n'ayant pas existé non plus).
En ce 24 Février, dans les sous-sol de Londres, un nouvel enfant vient d'être accueilli. On lui a donné pour nom "Expérience 208". Il est encore petit, trop petit pour son jeune âge, pour pouvoir tester quoi que ce soit sur lui. Donc les scientifiques devront attendre deux ans avant que le petit ne puisse être réellement exploitable.
En attendant, il est donc placé sous surveillance, dans une cellule avec d'autres enfants et une femme qui a été recrutée pour s'occuper des gosses quand ils pleurent ou autres...

C'est donc deux ans après, que l'Experience 208 pouvait enfin être utilisable.
La dite expérience jouait tranquillement dans une pièce, aux tons sombres, avec d'autres enfants de son âge, certains étaient plus jeunes, d'autres plus grand. Il n'y avait que très peu de filles, deux ou trois à tout casser, sans compter la puéricultrice... Alors qu'il s'amusait aux mikados avec un jeunes garçons de son âge, des hommes vêtus de smoking noir et à la carrure imposante style Men In Black, vinrent le chercher. Sans discuter, celui-ci accepta. Croyant qu'il était l'heure de manger tout simplement. Mais alors pourquoi le prenaient-ils lui seul et pas les autres ? Cette question n'occupa pas son esprit bien longtemps, dès qu'il eut dépassé le réfectoire sans s'y arrêter, il comprit bien vite que ce n'était pas la destination de départ. Où allait-il alors ?...
Le couloir se faisait de plus en plus étroit et humide, dans ce labo, la couleur prédominante était le noir, ainsi donc, les enfants ne voyaient rien, même pas où ils mettaient les pieds. Le fait de tenir la main à ces gars imposants suffisait à les rassurer. C'est alors que l'expérience 208 ignorait totalement, qu'il marchait sur du sang sec, couleur rouille et dont l'odeur saturait complètement ses nasaux. Il aurait bien voulu demander où on l'emmener, où il était, pourquoi il ne pouvait plus jouer, mais dès qu'il essayait de parler, dès qu'il ouvrait la bouche, l'homme écrasait violemment sa main. Alors il se taisait... Alors qu'il marchait encore et encore, il entendit soudainement un cri. Un cri d'horreur, douloureux, effrayant. Comme si on lui avait piqué les fesses, il s'arrêta net. Le garde lui écrasa de nouveau la main, mais rien à faire, le petit refusait obstinément d'avancer. Il en avait déjà vu passer pleins des enfants. Mais aucuns n'éprouvaient la moindre peur. Et pourtant, chaque soir, dans sa cellule, il entendait des cris, des cris atroce, douloureux qu'il ne pouvait s'empêcher de trouver affolant au début. Maintenant il s'était habitué à ces cris, mais le fait de s'approcher de ceux-ci commençait de nouveau à l'apeurer. Et si c'était des enfants qui criaient ? Qu'allait-il faire ?!...

- Avance gamin ! Tonna un des gardes tandis que l'autre lui écrasait de nouveau la main.
- N-Non, j-j-j'ai peur ! Je veux pas ! C'est quoi ces cris ? C'est quoi cette odeur ! Pourquoi me faîtes-vous mal ? Il y a quelque chose à cacher ? Je veux des réponses ! J'ai faim ! Pourquoi est-ce que les autres viennent pas ? ça fait longtemps qu'on marche, le réfectoire est de l'autre côté ! Je veux revoir Kuukaku-sama (la puéricultrice), j'ai pas envie d'aller plus loin. Je ne vous vois pas, il fait froid, c'est noir. Vous êtes trop grand ! J'aime pas votre voix ! Vous êtes moches ! Lâchez-moi !

Le petit n'avait pas froid aux yeux et parlait déjà très bien pour son âge, ce qui sembla poser un problème aux deux gros. Dans l'obscurité du couloir, ils se regardèrent et décidèrent de porter le petit de manière "sac à patate", ainsi il arrêterait de les freiner. Le couloir se faisait de plus en plus clair, ils arrivèrent au bout car l'expérience 208 puis apercevoir de la lumière sous une porte. Le garde - qui portait le nom de John ! yeah british - ouvrit la porte et le petit fut étonné de voir ce qu'il avait sous les yeux. Une salle entièrement blanche. Impeccable. On ne distinguait les murs du sol tellement tout était d'une netteté incroyable, le garde balança le gamin à terre et en retombant sur ses fesses il jura quelque chose comme "hé le moche ! Tu pourrais être plus attentioné !". Le concerné ne prit même pas la peine de répondre et il ressortit de la salle avec l'autre. L'experience 208 se retrouva seule pendant deux minutes. Durant ce laps de temps, il se leva et regarda aux alentours, une table d'opération au milieu de la salle avec pleins d'ustencils à côté. Une petite table à côté, contenant essentiellement des seryngues. Aucuns de ces objets n'effraya le petit garçon qui se surprit même à piquer une aiguille qu'il mit dans la poche de son pantalon. Peu après, un vieux scientifique au crâne dégarni et à la longue blouse blanche propre s'avança vers le garçon. Sa vieillesse était visible, il était courbé et arboraient une multitude de rides à son front, il se frotta les mains avec un air machiavélique et rajusta ses lunettes sur son nez.

- Bien, c'est donc toi l'experience 208. Veux-tu bien t'installer sur cette table s'il te plaît ?
- Nan.
- Pardon ?! Petit éffronté ! Installe-toi dessus et vite !
- Nan.
- Et pourquoi cela je vous pris ?
- Vous êtes moches et vous puez.

Le scientifique observa le petit pendant un petit moment et claqua des doigts, deux autres scentifiques, plus jeunes, vinrent prendre le petit pour l'attacher sur la table. Il se laissa faire et, pendant que les deux scientifiques tentaient de l'attacher, la petite experience en profita pour tirer la langue au vieux qui ne put s'empêcher de lever les yeux au ciel en soupirant. Ce petit, il allait lui donner du fil à retordre... Une fois qu'il fut attaché, le scientifique lui éclaira la tête avec une lampe pour qu'il ne voit rien. Il ne fut même pas prévenu qu'il allait être piqué à divers endroit et que ça allait faire mal. Mais lorsque le docteur (qu'on appelera docteur Hojo où c'est du copyright ? XD ) lui planta l'aiguille violement dans le bras - il est rancunnier, celui-ci ne broncha pas. Il se contenta de regarder le plafond blanc et tourna la tête vers la gauche - à l'opposé de l'autre crâne de piaf - pour voir la fille scientifique blonde qui avait les sourcils froncés et qui regardait le petit avec un certain déséspoir. Quoi, quoi ? C'était le gamin qui se faisait piquer et c'était elle qui en avait les larmes aux yeux ?.. Mais minute, des larmes de joie ou.. ?
A l'époque, le petit avait les cheveux chatain clair magnifique, mais suite à cette experience, il subit comme une dégénérescence et ses cheveux devinrent blanc. Mais d'un blanc magnifique. Et, comme vous l'aurez compris, c'était le résultat de cette piqûre. Le docteur prit une autre seryngue et commença à la planter de nouveau dans l'autre bars du gamin mais les deux autres scientifique l'arrêtèrent, sous pretexte que cela pouvait tuer le petit. Le résultat physique de ce début d'experience fut la pointe de ses cheveux qui devinrent, plus tard bien sûr, bleu.

Après ce court passage chez le Docteur Moche, l'experience fut rammené dans une salle. Mais différente de celle d'avant. Avec lui se trouvait de nouveaux enfants, plus âgés pour la plupart et cette fois-ci, les filles étaient en majoritée. Certains, dans un coin, avaient des têtes de gangster et relevait les manches de leurs vestes pour faire un concours "lequel avait la blessure la plus profonde ?". Dès lors qu'il posa un pied dans la salle, tous les regardes se tournèrent vers lui. Certaines filles avaient les yeux rouges, d'autres les cheveux violet et d'autres encore des cheveux rouges... La première à amorcer un mouvement dans sa direction fut Keyakku. Elle n'était pas très grande, mais semblait plus âgée. Son physique aussi était hors du commun, des yeux vert émeraude fin en amande ainsi qu'un peau blême comme si elle était morte avec, pour courroner le tout, des cheveux violets d'une longueur incroyable. Elle s'accroupit à côté du garçon et lui sourit. A côté de l'experience 208 se trouvait encore la femme scientifique ainsi que le vieux fou qui discutère à voix basse, mais pas assez pour que leur discussion échappe aux deux jeunes.

- Sa réaction est vraiment étrange, commença la femme.
- Certes, mais peut-être que plus tard il commencera à se transformer...
- C'est peut-être trop tôt.
- Tais-toi insolente ! Regarde tous les enfants, ça a marché sur tous !
- Sauf Keya--
- Keyakku est un cas à part !
- Vous auriez du attendre un ou deux ans de plus !...

Se rendant compte que tous les enfants les fixaient, les deux scientifiques sortirent de la salle en la fermant à clef. Keyakku reporta son attention sur le petit qui avait la tête penchée, les sourcis froncés et qui la dévisageait. Qui était-elle ? Des cheveux violets ? Beurrk ! Et c'est quoi cette couleur de peau ? Elle est vivante au moins ? Il avança sa petite main vers la joue de la fille et elle sourit, ferma les yeux et laissa le garçon la toucher. Lorsqu'elle ouvrit les yeux de nouveau, elle vit une petite expérience lui sourire. Cela déclencha automatiquement des chuchottements, elle n'entendit pas tout, mais de ce qu'elle put dissimuler, Keyakku entendit des "Il a touché Keyakku-san ! Ohlala !" "Faudra qu'on lui règle son compte !' et autres choses du même genre. Car si le petit garçon ignorait bien quelque chose, c'était que Keyakku était l'experience la plus réussi de tous, et donc qui suscitait chez certains la jalousie, et chez d'autre le respect le plus profond. La seule experience qui avait raté chez elle ( et chez le petit donc ) était celle qui avait maarché sur tous les autres. Peut-être l'avez-vous déjà devinée ? Il s'agissait de changer une personne de sexe. La plupart des filles ici avaient, autrefois, étaient des garçons et vice-versa. Ce qui explique pourquoi les filles étaient en plus grand nombre ici...

Chapitre II

24 Février 1917, Londres

La petite expérience 208 avait maintenant bien grandie ! Elle portait désormais le prénom de Kuroyume et avait quinze ans. Kuroyume avait fini sa dégénérescence, il avait les cheveux entièrement les cheveux blancs avec un peu de bleu aux pointes. Ayant subi d'autres expérience, il se retrouvait également avec les yeux d'un bleu cyan magnifique.
L'erreur qu'il a commise ( celle de toucher Keyakku je précise, erreur très grave -_- ) lui a valu quelques bleu. Cela ne le dérangeait pas, ce n'était pas ce qui allait l'empêcher de voir celle qu'il appréciait le plus dans cet endroit psychopathe...
Aujourd'hui, il rentrait donc de ses examens quotidiens et allait dans la salle habituelle, il entra donc (les gardes ne le suivaient plus à présent, il s'était accoutumé à tout cela ) et chercha automatiquement Keyakku. Simplement, elle ne donnait aucuns signe de présence. La salle était noire, il manquait plusieurs enfants. Sur environs une vingtaine de gosse, il n'en restait plus que cinq... Kuroyume compris. Il se dirigea vers les quatres autres enfants qui, regroupés dans un coin de la salle, étaient accroupis et tremblaient comme de véritables feuilles mortes. Kuro hésita à leur demandait ce qu'il se passait, pourquoi les jouets étaient souillés de sang, pourquoi il n'en restait plus que cinq, pourquoi avaient-ils si peur... Mais la seule chose qu'il fut capable d'articuler fut...

- Keyakku... Où est Keyakku ?

Aucuns ne répondit, et ce silence ne fit qu'aggraver la peur de Kuro. Un petit - nouvel arrivant - se mit à hurler comme si on lui arrachait les ongles. Kuro ne réagit pas, ce n'était pas son problème à lui si ce gamin hurlait, lui ce qu'il voulait savoir, c'était où était Keyakku ! Et il fallait qu'il le sache vite ! Ou bien il allait exploser.
Sa tête commençait à le brûler, ses sourcils se froncèrent, une veine palpitait sur sa tempe et il serra les poings si fort que ses ongles coupèrent sa chair. Les trois autres gamins s'occupèrent de celui qui hurlait, ils demandaient ce qui n'allait pas et, la seule fille restante, le cajolait en le serrant contre lui. Pourquoi l'ignoraient-ils tous de la sorte ?! Que se passait-il ?!
Plutôt que de le demander une seconde fois, Kuro prit une chaise - maculée de sang - et la balança contre la porte de fer qui ne tarda pas à s'ouvrir. Le bruit avait résonné dans tous le couloir et il pouvait facilement entendre les bruits de pas s'activer de l'autre côté. Automatiquement, il prit la fuite en sens inverse pour aller à l'encontre des gardes, une fois qu'il les trouva, il leur expliqua qu'un gamin s'était enfui de l'autre côté et qu'il avait pris des seryngues. Les deux carrures imposantes se dépêchèrent d'aller à l'endroit indiquer par Kuro. Eh bien oui, quand on a des muscles, on a pas beaucoup de cervelle en générale. Et donc le petit en profita pour continuer son ascension vers la salle de torture. Il y avait de la lumière dessous. C'était bon ou mauvais signe ? Mais aucun cri ne s'échappait de la salle.
Sans y réfléchir à deux fois, il ouvrit la porte et se reçut quelque chose en pleine tête qui le fait tomber à la renverse. Il mit sa main sur son nez, qui se mit à saigner, et lorsqu'il ouvrit les yeux, le docteur le regardait avec un sourire hypocrite affiché sur le visage.
Tout en jetant un coup d'oeil sur le côté, il s'aperçut que c'était un chapeau pointu de fête. La première chose qu'il eut envie de faire fut de crier au docteur qu'il fallait le faire soigner, mais les quatres autres petits de la salle précédente vinrent le relever et lorsqu'il regarda dans la salle de torture, il 'nen crut pas ses yeux.

Tout avait été entièrement redécoré, bien sûr cela gardait les tons sombres habituels, mais c'était un peu plus joyeux déjà avec des serpentins un peu partout, des guirlandes et une grande banderolle blanche. Sans compter que tous les enfants étaient là, ainsi que les docteurs. Même Kuukaku se trouvait ici, elle lui souriait. Elle s'approcha et l'étreignit, Kuro leva les yeux en l'air et avait un air dépité. Les seins énormes de cette puéricultrice n'avaient absolument pas changé... Il tenta de respirer jusqu'a ce qu'elle daigne le lâcher. Puis elle planta son regard euphorique dans celui du jeune garçon qui la regardait d'un air blasé.

- ça fait longtemps que je t'ai pas vu ! Qu'est ce que tu es beau dis donc ! T'as drôlement grandi !

Il regardait toujours Kuukaku de manière interrogative et posa son regard derrière elle. La scientifique se trouvait là (cela semblait logique vu que le fou était à côté ), einsi que d'autres enfants. Mais pourquoi étaient-ils tous là ? A lui balancer des chapeaux pointus dessus et à être heureux ? Il n'y avait même pas Keyakku !... Kuro croisa ses bras sur son torse et soupira en levant les yeux au ciel. Il n'était pas d'humeur à supporter l'autre tarée de Kuukaku, il voulait pas voir la face de singe du docteur, la scientifique et son visage étaient insupportables à voir. Ses chapeaux pointus étaient immondes ! Les autres étaient tous de gros gamins pour lui avoir fait une peur bleue pareille, Keyakku absente. Non vraiment, c'était nul ! Et puis pourquoi une fête ? Oh ! Peut-être pour surprendre Keyakku !
Kuro papillona des yeux à Kuukaku qui ne put s'empêcher de sortir un "trop chouu" puis il demanda:

- Où est Keyakku ? Que fait-on là ? Je suis perdu... en prenant un air faussement boudeur d'enfant perdu au bord des larmes
- Mais voyons Kuroyume-kun ! Commença Kuukaku

Il sentit une main se poser sur son épaule, puis la personne chuchotta à son oreille.

- C'est ton anniversaire aujourd'hui.

Sans se retourner il comprit que c'était Keyakku qui venait d'arriver, il voulut se retourner et lui faire un sourire mais la vision d'horreur qu'il eut suffit à le stopper dans son élan. Sur sa peau blême et si fragile, se trouvaient une dizaine d'entailles sur son visage. Entailles encore fraîche car le sang continuer doucement de couler sur les fines lèvres rosées de Keyakku, qui souriait. Il se recula de deux pas, se retrouvant collé sontre Kuukaku, et interrogea son amie du regard. Celle-ci le nia complètement et passa à côté de lui pour se diriger vers la table qui contenait des gateaux à manger, des boissons etc... Tout le monde commença alors à sourire et à s'amuser. Tous. Sauf le concerné. Machinalement, il porta sa main dans sa poche, pour s'apercevoir qu'il avait toujours l'aiguille (qu'il avait piqué deux ans auparavant et qui ne le quittait plus) était bel et bien là. Mais pas seule. Une seconde se trouvait avec. Que faisait-elle là ? Il en s'en préoccupa pas bien longtemps... Pas plus que des cicatrices de Keyakku.
Tous les enfants semblaient heureux, c'était le premier anniversaire qu'ils fêtaient ici. Le premier. Et le dernier...

26 Février 1917, Londres, 6h04

[justify]Allongé dans sa cellule, les mains derrière la tête et les pieds croisés, Kuro fixait le plafond sombre de sa 'chambre'. Cela faisait près de deux jours qu'il n'avait pas vu Keyakku à présent. Et la dernière vision qu'il avait eu d'elle n'était pas resplendissante. Il se demandait bien ce qu'elle pouvait faire, plus cela allait, plus elle s'éloignait de lui. Enfin, c'était son impression qui, soit dit en passant, n'était pas fausse. Il replongea sa main dans sa poche de pantalon et en sortit les deux aiguilles. Il les observa un long moment, dans le noir, et les deux étaient différente. La première était plutôt courte et épaisse alors que l'autre était grande et fine. Celle que lui avait pris c'était la plus épaisse. Pourquoi faire ? Tenez-vous vraiment à le savoir ?...
A chaque fois qu'il passait un seul jour sans Keyakku, il se plantait l'aiguille sur son torse. A présent, tous les petits point faisaient une droite diagonale. Enfin presque vu que les points n'étaient pas reliés. Les points étaient rouges sang, comme s'il venait de se les faire. Et depuis près de 10 ans maintenant, la couleur n'avait pas changé d'un pouce, la douleur qu'il ressentait quand on la touchait trop n'avait pas changé non plus.
Avant même d'avoir fini cette journée, il commença à soulever son tee-shirt. Il savait. Aujourd'hui non plus, elle ne se montrerait pas. De ses doigts tremblant, il rangea l'aiguille inconnue et prit l'autre dans sa main gauche. Il ne s'assit pas, resta allongé. Fixa le plafond une fois de plus, souffla et enfonça tout doucement l'aiguille dans son torse. Il agrippa son lit avec la main droite, serrant les couvertues du plus fort qu'il pouvait tandis que la main gauche enfonçait sans remord l'aiguille. Ses traits du visage étaient tirés, sourcils froncés et machoire sérrées il luttait contre lui même pour ne pas hurler à la mort et ainsi attirer l'attention. Il arrêta lorsqu'il entendit des pas dans le couloir. ses yeux s'ouvrirent comme des billes, la porte s'ouvrit et il n'eut pas le temps de retirer l'aiguille.
Keyakku se trouvait là, la vision qu'elle eut la fit frémir. Kuro allongé avec une aiguille sui dépasse du torse, quelle idée ! Elle s'avança et retira l'aiguille en le traitant de crétin. Comme elle était dans le noir, elle ne vit pas les autres multitudes de traces sur son torse, il s'empressa de baisser son tee-shirt. D'une voix peu aimable il demanda:

- Qu'est-ce que tu veux ?!
- Je suis venue te dire au revoir.

Sa froideur disparut aussitôt qu'elle prononça les quatres dernier mot. Kuro se releva vivemment et s'écria:

- QUOI ?!
- Chut, chut !...
- Nan ! Quoi tu t'en vas ! Tu vas où ?!
- Ils vont tester sur moi une injection très dangereuse, j'ai 9/10 chances de mourir. Avant, je suis venue te voir. A la base, je pensais même pas que tu serais réveillé, ça me facilite pas la tâche tu sais...
- ...

Sa voix était remplie d'une certaine tristesse non dissimulée, elle n'était pas au bord des larmess - Kuro oui, elle pleurait carrément. Mais elle se mordait les lèvres pour résister aux chagrin qui s'emparait d'elle à ce moment précis. Inconsciement il leva les yeux au ciel, comme pour implorer un certain dieu qui, pour lui, n'existait pas et se décida à prendre Keyakku dans ses bras.
Ils restèrent un petit moment ainsi, sans rien se dire. Puis elle se releva, séchant ses larmes.

- P-Pardon... Il faut que j'y aille...
- Pourquoi toi, Keyakku...?
- Parce que je suis l'experience la mieux réussie... j'ai réagi positivement à tous leurs test... Donc...
- C'est injuste...
- Comme dernier souhait, je leur avait demandé de te faire une petite fête... Après que je sois...
- Stop ! N'en dis pas plus... Tu ne mourras pas. Tu me reviendras.

Keyakku ne pipa mot et se dirigea vers la porte en lançant un ultime regard à Kuro qui la fixait aussi. Tout deux se turent, et elle disparut dans les ténèbres du couloir. Kuro avait toujours eu une bonne intuition, elle n'allait pas mourir. Pourquoi mourrait-elle ?!...

[center][...]

- La ferme vieux débris ! j'veux la voir ! et de suite !!
- TU-NE-PA-SSE-RAS-PAS !
- Si je veux passer, je passerais, alors dégage de mon chemin !

Rien à faire, cela faisait bien dix minutes que Kuro bataillait contre John mais il refusait catégoriquement de le laisser passer jusqu'à la salle de torture, alors que d'habitude c'est lui qui l'y aurait emmené à coup de pieds aux fesses... Il avait entendu dire que Keyakku avait survécu, alors il voulait la voir. Absolument.

- C'est fini, petit, elle est morte !

Ces mots, dit d'une simplicité déconcertante, résonnèrent dans la tête du gamin un long moment... Elle est... Morte ? Non. C'est une blague ! Il veut pas le faire passer, c'est tout... Le docteur sortit de la salle d'examens et lança un regard froid à Kuro. Non, ce n'était pas une blague... Elle était bel et bien morte...

- Espèce de... Espèce de * censuré *, vus le saviez depuis le début ! Qu'elle allait mourir ! Mais vous avez fait exprès ! John, lêche moi, j'veux le crever !

Comme s'il allait réellement le lâcher... Le docteur regarda de nouveau froidement Kuro et s'essuya ses mains pleines de sang dans les cheveux du garçon.

- Tiens ! Il te restera un peu d'elle en toi ! Mais ne t'inquiètes pas, ne sois pas jaloux. Tu seras aussi soumis à cette expérience.
- Plutôt mourir que de passer sous votre table d'opération !
- Tant mieux, je suis content que t'en ai conscience !

Puis le néant total. John lui asséna un coup derrière la tête et il s'éffondra à terre... Lui aussi était destiné à cette expérience. Expérience ô combien cruelle, mais qui, si elle réussit, vous offre ce qu'aucun humain n'a...

20 Janvier 1919, Londres, 23h50.

Il était temps pour lui à présent. Il tournait en rond dans sa cellule encore une fois, attendant les médecins. Il paraitrait qu'aujourd'hui, ils allaient le laisser sortir ?!... Tu parles ! Comme si cela était possible un jour d'être gentil !... La porte en fer s'ouvrit et Kuukaku ainsi que la fille scientifique vinrent le chercher, ils se saluèrent tout de même et l'emmenèrent dans la salle de torture. Pas de torture pour aujourd'hui normalement... ? Le docteur les attendait là, avec toujours son sourire d'hypocrite à souhait et indiqua à Kuro de
s'installer. Ils le placèrent contre le mur en attachant ses bras et ses pieds, il ne touchait pas le sol et était plaqué contre le mur. Il
soupira, encore et encore le même scénario ?...

- Bien, Kuroyume. C'est à présent l'heure de notre test final. Voir si nous pouvons te relâcher, ou pas.

Le susnommé haussa les épaules et ne répliqua pas sur son ton arrogant habituel, il se laissa faire. Le docteur avança, une seryngue à la main
en disant que ceci était son dernier test. Avant de le piquer, il chuchotta quelque chose à son oreille qui lui fit complètement perdre les pédales.

- C'est-Celui-Qui-A-Tué-Keyakku.

Il n'eut pas le temps de répliquer que le docteur enfonçait l'aiguille et injectait le produit chimique dans son cou. Les vaisseaux sanguins de ses yeux explosèrent littérallement et ses yeux virèrent entièrement au rouge, il hurla comme jamais il n'avait hurlé. L'aiguille lui chauffait le cou et il regrettait d'avoir était naïf un instant pour avoir pu croire ne serait-ce qu'une seule seconde que ces médecins étaient capable de compassion face aux gens. Kuro s'assoupit un instant, ses yeux se fermaient, lui luttait, mais la substance était plus forte et il laissa le sommeil le gagner entièrement.
Lorsqu'il les rouvrit, il était sur la table d'opération, tous les médecins se félicitaient et avait un sourire - sincère pour une fois - accroché au visage. Kuro était encore attaché, il resta une bonne dizaine de minute ainsi, a regarder les docteurs avaler divers liqueurs alcoolisées. Au bout d'un moment, celui-ci finit par s'énerver.

- Hé oh ! Cela vous dérangerait-il de me relâcher ou je vais rester accrocher toute ma vie ?!
- Oh ! Tu es réveillé Keyakku !
- Sans dec' ?! J'avais pas remarqué dis donc ! Et moi c'est Kuroyume.
- Bien bien bien, tu ne vas pas pouvoir quitter l'établissement...
- La prison, correction !
- Parce que notre expérience est un vrai succès !
- Logique !...
- Tu es immortel mon garçon ! Tu comprends ?! I-MM-O-R-T-E-L !
- Han, han... Et on peut me détacher ou... ?
- Ah ! Oui, de suite mon petit Keyakku! Par contre... Si tu touches de l'eau bénite, tu risques de mourir.. Fais aussi attention à l'ail. C'est un peu nocif..
[color=cyan]- Ouais, j'suis un vampire quoi !
- Non, tu n'as pas les canine adéquates. Ce sera notre prochaine expérience, Keyakku.

Kuro ne se fit pas prier deux fois et fut détaché. Il n'y avait que quatres médecins ici... Il prit, rapidement, les quatres scalpels qui se trouvaient sur la table d'opération et les lança sur les quatres médecins. Un reçut le scalpel dans le coeur, l'autre dans le crane, un dans l'oeil et le dernier entre les deux yeux, il prit leurs argent et tout ce qui semblait avoir de la valeur et sortit de la salle. Se depêchant avant que John ne le rattrape, Kuroyume courut dans le dédale et réussit à sortir du laboratoire de recherche.
Il prit le premier vol dans l'aéroport de Londres vers la première destination - soit le japon au passage - et changea de prénoms et nom. Il inversa simplement son identité. Kuroyume devint son nom de famille, et Keyakku son prénom...
Lorsqu'il arriva au japon, il tomba sur une fille décidemment pas très commune...

Je finis le troisième chapitre plus tard, môman gueule et désolé, je dépasse trop la longueur demandée u_u