Besoin de toi ( pv Tomo)

Je m'étais installé sous l'ombre d'un grand chéne. Seul, au milieu d'une sorte de prairie. [ On trouve de tout dans cette académie...]J'étais pensif, cela faisait quelques semaines déja que j'étais à l'académie cross, et, aucune trace de Hani.
Contrairement aux élèves normaux de cette académie, en tant que chasseur de vampire, j'avais un peu plus de liberté. Je m'étais donc aventuré aux abors du pavillons de la lune surveillant les passages des vampires. Ils étaient nombreux, certe, je n'avais pas pu tous les appercevoir, mais, je commençais à desespérer. Encore une fois j'étais sur une fausse piste.
Je poussai un leger soupir, et m'adossai totalement contre le chêne. Je fermai les yeux. Une légére bise vint me chatouiller le visage ce qui eu pour effet de me détendre un petit peu. Les rayons de soleil me réchauffait agréablement.

Mais, trop de pensées tournaient dans ma tête m'empechant de profiter pleinement de ce cadre paradisiaque dans le quel je me trouvais.
Je me mis à faire le point de ces quelques semaines passés ici. J'avais fais la rencontre de Tomo, en cours, et nous nous etions revu par la suite, seul, passant une aprés midi merveilleuse. depuis se jour la, il était rare que nous ne soyions pas ensemble. Nous nous entendions réellement bien et j'aimais passer mon temps avec elle. Depuis Hani c'est la premiére personne avec qui je me sens aussi bien.
Et puis, il y'a peu, j'avais fait la rencontre de cette vampire, au regard si triste, ruka soen.
Au final, même si la raison pour laquelle j'étais venu ici n'étais pas satisfaite, je n'avais pas perdu mon temps.

Nous étions vendredi soir, la plupart des élèves étaient actuellement entrain de faire leurs valises pour rentrer passer le week end dans leur famille. Moi, je restais ici. Ma petite ville étant trop éloigné pour m'amuser à y faire juste un aller retour.
Qu'allais je donc bien pouvoir encore faire ce week end?
"lire!" , soupirais-je " et m'entrainer si je veux garder la forme." Je n'étais pas le seul chasseur de vampire au sein de l'académie, à priori, on ne devrait pas avoir besoin de mes services, mais bon... on ne savait jamais.
Mes pensées continuaient de vaguabonder dans tous les sens. je me dis que peut etre que ruka restait à l'académie le week end, je n'avais pas pensé à le lui demander.
Et Tomo... je ne la verrais pas pendant deux jours entiers, à cette pensée, j'eu l'impression qu'un grand vide naissait à l'intérieur de mon étre.

Tomo cherchait Kaouru partout dans les jardins. Elle avait été le voir dans sa chambre, mais son camarade de chambre lui avait dit qu’il était parti dans les jardins.
Elle avait une bonne nouvelle à lui annoncer et était impatiente de le trouver. En fait, depuis quelques temps, elle était souvent impatiente de le voir et n'importe quelle raison devenait une opportunité.

Elle balayait donc du regard tous les recoins du jardin cherchant désespérément son ami, jusqu'à se qu’elle finisse par l’apercevoir à l’ombre d’un grand chêne. Il était seul, tant mieux, elle préférait les discutions qu’ils avaient quand ils étaient seul tout les deux.
« Kaouru !», cria-t-elle en accourant vers le garçon. Des qu’elle fut à sa hauteur elle se projeta allongée prés de lui.
« Devine quoi ! », lui demanda-t-elle. Elle attendit que Kaouru fasse un signe interrogatoire pour enfin lui dire ce qu’elle avait à lui annoncer.
« Je reste à l’internat ce week end ! ». Elle savait que cette nouvelle devrait l’enchanter car il lui avait souvent répété à quel point le week end il ne faisait rien d’intéressant.
« Ma famille est partie en Europe rendre visite à mon oncle, ils y resteront la semaine entière. J’ai donc préféré restée ici plutôt que de louper une semaine de cours. » Tout en lui expliquant cela, elle cala sa tête sur le ventre de Kaouru afin de s’en servir d’oreiller. « Que faisais-tu ici ? ». Elle cueillit une pâquerette qui se trouvait à coté de sa main, et, en même temps qu’il lui répondait, elle arrachait doucement les feuilles une à une. * Il m’aime, un peu… beaucoup…..*.
Elle était ravi de pouvoir passer tout se temps avec Kaouru s’en avoir à se préoccuper des cours, et de ce que les gens pourraient dire sur leur compte.

A la voix de Tomo, je rouvris les yeux et regardai dans sa direction. Elle se jeta à mes cotés avec un tel empressement ! Je me demandais ce qu’elle pouvait bien avoir à me dire pour que cela semble si important.
Elle restait la ce weekend end… la révélation me laissa quelque peu abasourdit ! Ce weekend end risquait d’être bien différent des autres ! Tant mieux.
Elle finit par poser sa tête sur mon ventre, j’en fus un peu surpris, c’est vrai que ces derniers jours nous étions plus à l’aise l’un avec l’autre, mais nous n’avions encore eu aucun contact. Mon visage s’adoucit, et un léger sourire apparut sur mes lèvres. Ce que je faisais ici ? « Eh bien, j’étais en train de mettre un peu d’ordre dans ma tête. J’essayais de me rappeler des raisons qui m’ont poussées à venir ici. »Je fis une pause. J’avais envie de lui en dire plus, de lui raconter ma vie, de me confier pleinement à elle. Mais je ne pouvais pas. Elle, elle n’avait aucune idée de l’existence des vampires. Pour elle, Ce n’était qu’un conte, un mythe qu’on racontait aux enfants, pour les effrayer, ou encore pour faire travailler leur imagination. Ce n’était pas plus mal d’ailleurs, qu’elle ne connaisse pas l’existence de ces monstres. Car, beaucoup d’entre eux étaient de réels monstres contrairement à la plupart des vampires de cette académie.
Si jamais elle devait me poser des questions, j’aviserais, modifiant quelque peu la réalité. Mais, je ne lui raconterais rien de moi-même.
Elle prit une pâquerette à coté d’elle et commença à la dépouiller. J’attendis patiemment qu’elle finisse pour connaître le résultat.
Ma main s’approcha inconsciemment de sa chevelure, l’effleura, mais, lorsque je me rendis compte de se que j’étais entrain de faire, je la retirai prestement. Décidemment, je ne me comportai pas normalement en sa compagnie. Je déposai ma main délicatement sur l’herbe.
Je me mis à regarder le ciel, il faisait encore beau, mais, de plus en plus l’automne approchait. Je voulais profiter des moindres rayons de soleil, du doux parfum des plantes et du chant des oiseaux.
Tomo continuais de dire tout fort « à la folie, passionnément… », Bizarrement, venant, cela me fit rire. Si je ne la connaissais pas, et que je l’avais vu faire ca d’un point de vu extérieur, je l’aurais prise pour une idiote. Ce qui était loin d’être le cas.

Tomo arriva à la derniére pétale.
"Pas du tout! il ne m'aime pas du tout... mais... je ne sais pas qui est ce "il"... je n'ai pensé à personne ".
Elle mentait, en ceuillant la paquerette elle avait pensée à Kaouru, mais elle ne pouvait décemment pas le lui dire.
Une fois cela fait, elle reporta son attention sur kaouru,
"et.... pour quelles raisons est tu venu ici?"
Elle ne lui avait jamais vriament poser de question sur les raisons de sa tristesse, mais, elle sentais que ces raisons étaient liée à la présence de Kaouru dans cette académie.
Elle attendit alors patiemment une réponse venant de celui ci tout en triturant une meche de ces cheveux.
Le soleil était encore haut de le ciel, et, bien qu'il était déja la fin d'aprés midi, il faisait encore chaud les deux adolescent avaient encore un long moment à passer ensemble.

[ dsl... c'est vraiment court... mais je sais pas trop quoi écrire d'autre...]