Vampire Knight RPG
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Vampire Knight RPG

L'heure est venue, humains et vampires sont à présent confrontés dans la célèbre Académie Cross. Incarnerez-vous un humains, ignorant tout de l'existence des vampires, ou bien l'un de ces monstres à visage humains qui se nourissent de sang?
 
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 Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée)

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Bélial Vacaresco
Sang pur-Professeur de Sciences
Bélial Vacaresco


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Date d'inscription : 27/09/2008

Feuille de personnage
Âge du personnage: 26 physiquement, mais âgé de 1500, ans.
Relations: Frère aîné de Baal
Race: Vampire au Sang Pur

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MessageSujet: Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée)   Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée) Icon_minitimeDim 28 Sep - 22:47

Nom: Vacaresco
Prénom: Bélial
Surnom*: Essayez d'm'en donné un et je vous jure que je me charge de votre cas...
Âge humain: 22 ans
Âge Vampirique: 1500 ans
Race: Vampire au sang pur
Date de Naissance humaine*: 26 Janvier 508
Emploi: Médecin, chirurgien, vétérinaire, spécialiste dans l'étude des poisons et professeur de Sciences, matière qu'il enseigne à l'Académie.
...

Le Caractère:

Bélial possède un caractère très difficile à cerner. En effet, c'est un être qui peut paraitre au début comme très calme et posé, pourtant, il se révèle être un vampire d'une cruauté et d'une insensibilité sans faille.
Son caractère serein en fait un fin tacticien et quelqu'un de très intelligent. Lorsqu'il doit choisir une victime, il ne la choisit pas au hasard, loin de là. Il l'a choisit pour son sang.
Vampire très colérique, il est déconseillé de l'énerver si l'on ne veut pas risquer de mourir dans d'atroce soufrance, d'autant que ses pouvoirs ont tendance à se déchainer lorsqu'il est énervé.
Il a aussi un tempéramment très sarcastique, hautains et railleur. Il n'hésitera pas à ridiculiser l'une de ses victimes, unisuement pour la voir s'afaisser moralement.
Il fait preuve d'une cruauté et d'un sadisme équeurant. C'est un être capable de rester des heures à torturer un humain, juste pour le plaisir de le voir souffrir.
C'est un vampire de la pire espèce, détestable et absolument antipathique.

De plus, Bélial a sombré dans la folie depuis de nombreux siècles, ce qui le rend on ne peut plus agressif et cruel. Cette folie est omniprésente chez lui, on pourrait presque penser qu'il s'agit d'une deuxième personne.

Physique :
D'une taille imposante, Bélial possède une stature et un charisme ravageur. Mis à part son caractère, il pourrait sembler charmant.
Une superbe chevelure d'argent aux reflets azurés descent le long de son dos, souvent attachée en queue de cheval.
Il possède un petit sourire froid et inintéressé absolument magnifique.
Comme tous les vampires, sa beauté n'est plus à vanter mais plutôt à contempler, car étant issu d'une longue lignée de sang pur, sa beauté n'en est que plus ravageuse.
La seule partie de son corps qui reflète le plus la noirceur de son âme, sont ses yeux. Semblables à des billes de verres argentées, elles ne reflètent pas le moindre éclat de vie ni de sentiment. Ce regard impitoyable qu'il vous jette avant de vous tuer ne vous apporte que désespoir et tristesse, vous otant toute envie de fuir.
C'est un homme habituellement vétu de noir, parfois d'une touche de blanc, mais toujours habillé simplement et avec gout.

Le charisme naturel qui émane des vampires au sang pur n'est néanmoins pas la première chose qui peut frapper chez cette homme. C'est avant tout l'aura diabolique et malfaisante qui émane de lui qui surprend et fait frissoner. Il n'a rien d'un homme, mais tout d'un démon, autant dans sa démarche fluide et souple que dans sa façon d'être, de parler, de regarder.

La Situation Familiale:

Bélial ne possède plus de famille. Ces parents furent tués alors qu'il avait à peine 950 ans, autrement dit 14 ans pour les humains. Ils sont morts dans d'étranges circonstances. Son grand père, qui s'est chargé de son éducation, à lui et son frère est mort tué par un chasseur de vampire en 1896. Il ne lui reste plus que son frère, Baal, mais celui-ci a disparut depuis de nombreuses années, laissant Bélial complètement seul, anéantit par sa folie et la perte de son frère qu'il chérit plus que tout au monde. Baal est d'ailleurs son seul et unique point faible.

Pouvoir:

Bélial contrôle la gravité, il est donc capable de multiplier ou dépultiplier le poids d'un objet ou d'une personne par mille. Lorsqu'il est soumis à une forte émotion ou très en colère, son pouvoir échappe à sa concentration et l'atmosphère devient d'une lourdeur accablante, si bien que l'air devient irrespirable et la pression atmosphérique énorme ou au contraire très faible.
Ce pouvoir lui permet aussi bien de soulever un Homme de terre que de l'étrangler par la seule force de sa pensée.
Son deuxième pouvoir est un pouvoir très particulier et bien moins développé. Il lui permet d'invoquer n'importe quelle forme monstrueuse à partir d'un élément présent en grande quantité. Cependant, il l'utilise rarement à cause de l'ampleur catastrophique qu'est capable de prendre ce pouvoir.

Arme:

Un Katana à lame courbée et noire de 121 cm, gravé de runes si ancienes que l'on serait incapable de les déchiffrer. Ce katana fut forgé en 1545 à la demande du grand père de Bélial.

Points particuliers:

Dois-je signaler que Bélial...est totalement fou?^^ Je crois oui. Lorsqu'une émotion forte ou une excitaiton intense s'empare de lui, cette folie devient incontrôlable et il dérive complètement. C'est un être totalement instable et à prendre avec beaucoup de sérieux si l'on ne veut pas rencontrer cette facette de lui.

*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*..*

Annexe:


Votre présence sur le forum: 9 à 10 je pense.
Comment avez-vous connu ce forum? C'est moi qui l'ai créé^^
Jouez-vous déjà un personnage sur ce forum, et si oui, lequel? Oui, je joue également Hanabusa Aido.
Avez-vous lu le règlement et l'avez-vous signé? Oui, alors c'est partit mon kiki!^^




Dernière édition par Bélial Vacaressco le Mer 1 Oct - 13:31, édité 3 fois
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Bélial Vacaresco
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MessageSujet: Re: Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée)   Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée) Icon_minitimeMer 1 Oct - 12:52

L'Histoire:

[Elle est longue, je sais, mais Bélial est un personnage que j'ai beaucoup travaillé, avec l'aide de Baal et Egnirys et donc nos histoires sont mêlées, ce qui fait que le résultat...est très long! XD
Il reste peut-être certaines fautes de temps, mais ça c'est parce que j'avais commencé au présent, puis continué au passé simple avant d'me rendre compte que ma bêtise et j'ai du tout rechanger, alors j'en ai peut-être oublié un peu!^^
Gomen!
EDIT: Mon histoire est tellement longue...que je peux pas la mettre sur le message du dessus--' Donc le vais poster mon histoire sur ce message et le suivant^^]


26 Janvier 508.
Dans un sombre château perdu dans la Roumanie médiévale, les serviteurs s’activaient avec affolement dans les couloirs glacials de la bâtisse. Ils entraient et sortaient d’une immense pièce à coucher, toujours aussi rapidement, avec une rapidité telle qu’elle n’en était pas humaine, et pour cause, cette demeure appartenait à des vampires au sang pur, tous les habitants, serviteurs compris, étaient des vampires.
A l’intérieur de cette chambre, une femme au front perlé de sueur venait de mettre au monde un enfant. Le premier héritier mâle de la famille. Elle le regardait avec une tendresse infinie. L’enfant, bien loin d’être épuisé ou de hurler, fixait sa mère de ses grands yeux gris perle avec un intérêt limité. Ses yeux s’attardérent sur la splendide chevelure d’argent de sa génitrice et il y passa ses petits doigts potelés. Il ne savait pas encore que tout les espoirs de sa famille reposaient sur lui. Cela faisait 250 ans qu’ils attendaient un héritier pour succéder au grand-père de cet enfant, l’enfant unique de celui-ci étant une femme, l’héritage ne pouvait lui être remit.
Deux hommes entrèrent alors en trombe dans la chambre et se précipitèrent vers le lit. L’un vint tout d’abord prendre des nouvelles de son épouse, tandis que l’autre lui arrachait le nourrisson pour le contempler avec satisfaction, sous le regard peu amène de sa fille unique.
Dans un murmure quelque peu rauque à cause de la fatigue, la mère lui donna son prénom. Le petit être porterait le nom de Bélial.

L’enfance.
L’enfance du petit Bélial se passa dans l’immense château de son grand père, avec ses parents et le reste de sa famille. Il n’était pas autorisé à quitter le refuge familial, il ne pouvait voir la lumière extérieure, ne pouvait jouer avec des enfants de son âge. Ca ne le dérangeait finalement pas tant que ça, l’enfant étant très solitaire. Il ne se confiait à personne, gardant la plupart du temps le silence en présence de beaucoup de monde. La seule personne à qui il parlait vraiment était sa mère, la seule qui parvienne réellement à comprendre son envie de fuir du château. Bélial aurait bien aimé sortir d’ici, il aurait voulu voir le monde, mais son grand père refusait catégoriquement de le laisser faire un pas dehors, sauf s’il était accompagné, bien sûr, et cela était exceptionnel.
Ses parents ne pouvaient que se plier à l’avis du patriarche, ce que l’enfant ne semblait pas vraiment comprendre. En grandissant, il finit par comprendre que son grand père ne voulait que son bien être et sa protection. S’il ne pouvait sortir dehors en plein, jours, c’était parce que le soleil lui était néfaste, et la nuit, de nombreuses bêtes rodaient.
Bélial s’avéra être un jeune vampire particulièrement intelligent, calme et serein. Il se passionnait pour les sciences et en particulier les poisons.
D’une insensibilité rare pour un enfant, il n’hésitait pas à tester ses créations sur des humains, encouragé par son aïeul qui semblait avoir les humains en horreur.
Jusqu’à ces 500 ans, la vie de Bélial ne tourna qu’autour de sa petite personne, tous étaient aux petits soins avec lui, il se sentait aimé et adoré, ça lui suffisait, il avait l’impression de croire à un bonheur factice, et pourtant, il était seul.

8 Mars 1022.
Une fois de plus, c’était l’affolement au château. Les serviteurs s’activaient dans les couloirs, ils virevoltaient d’un endroit à l’autre, passant devant un jeune garçon à la longue chevelure d’argent adossé au mur, sans même faire attention à lui.
Celui-ci ne s’en souciait guère, il attendait patiemment qu’on l’appelle. Soudain, la sage femme sortit en trombe de la chambre. Elle chercha des yeux une personne, puis ses yeux se posèrent sur l’enfant adossé au mur. Elle se précipita sur lui.

-Oh dieu merci, vous êtes là, seigneur Bélial !
-Qu’y-t-il ?, s’enquit-il d’une voix posée.
-C’est affreux !, s’écria la femme en faisant de grands gestes, le médecin n’est pas encore arrivé, et votre mère est sur le point d’accoucher, je ne sais plus quoi faire ! Si ce médecin de malheur n’arrive pas bien vite, j’ai peur pour la vie de l’enfant !

Bélial se redressa, attentif à chaque mot. Il ne pouvait tolérer que l’absence d’un incompétent mette en péril la vie de son futur cadet.

-Je vois…je vais y aller…
-Mais…mais enfin vous ne pouvez pas ! Vous avez à peine 11 ans, vous êtes incapable de faire…
-La ferme ! Je n’ai pas d’ordre à recevoir de toi ! Fais ton travail et contente-toi de m’écouter, pauvre sotte !
-Je…bien, pardonnez-moi…

La sage femme s’Inclina profondément devant son jeune maitre et l’emmena jusqu’au chevet de sa mère.
L’enfant, bien loin de se démonter, la rassura tendrement, quoique qu’un peu angoissé.

-Ne vous inquiétez pas, mère, j’ai déjà lu ça dans un tas de bouquins, je pense pouvoir m’en sortir…

Un long moment s’écoula, si long pour Bélial qu’il sembla durer une éternité, mais il parvint à faire naitre l’enfant. Le cœur battant la chamade, il annonça fièrement à sa mère qu’il avait désormais un petit frère, qu’elle décida de prénommer Baal.
Alors que son ainé le tenait dans ses bras un regard d’une tendresse infinie dans les yeux, il se dit que maintenant qu’il l’avait mis au monde, il devait le protéger, au péril de sa vie. Il aimait déjà ce petit être d’un amour profond.
Celui-ci avait les yeux clos et pourtant agrippait de son petit poing la chemise de son frère.

Les 250 années qui suivirent se passèrent dans un bonheur tel que Bélial se sentit pleinement comblé. Il passait le plus clair de son temps avec son petit frère, il lui apprenait tout, à écrire, à lire, il le faisait étudier, il parlait énormément avec son cadet, jouait avec lui à des jeux dont il avait largement passé l’âge. Les deux frères se ressemblaient étrangement physiquement, et pourtant, ils étaient de nature totalement différente. Baal était un enfant gentil, doux et aimant, quoique colérique et capricieux, mais surtout beaucoup plus bavard et ouvert que son aîné. Celui-ci était froid, distant, horriblement cruel et introvertie. Ils étaient comme le jour et la nuit, peut-être est-ce pour cela qu’ils s’entendaient si bien ?
Toujours est-il que ce bonheur éphémère auquel Bélial avait goutté pendant 750 ans prit fin avec la venue d’un évènement plus que tragique, la mort de ses parents.

18 avril 1261.
Agenouillé sur le sol de marbre froid de la salle de réception du château, Bélial fixait un point au loin sans réellement le voir. Il était maculé de sang de la tête aux pieds, que ce soit son sang ou celui d’un autre.
Ses cheveux argentés étaient emmêlés et ébouriffés, prenant une teinte rouge particulièrement prononcée. Ses yeux avaient la même teinte rubis et étaient exorbités, tandis que son visage était déchiré par l’horreur.
Sa respiration était saccadée et rapide. Il releva les yeux et contempla le macabre spectacle qui lui faisait face. Deux corps inertes et ensanglantés lui faisaient face, complètement défigurés et ravagés. Bélial se leva en tremblant avec difficultés, et s’avança vers ses parents, morts.
La lame de son Katana brisé crissa en glissant sur le sol, et c’est alors que Bélial se rendit compte de l’horreur de l’acte qu’il venait de commettre.
Il lâcha la lame fendue de son arme qui tomba en résonnant sur le sol, tandis qu’il enfouissait ses mains dans son visage. Un immense rire nerveux et malsain s’éleva de sa gorge, tandis que ses doigts s’écartaient sur ses yeux effarés qui contemplaient le spectacle mortuaire auquel il assistait.
L’enfant poussa alors un hurlement déchirant en s’effondrant au sol. Il se mit à pleurer, et entre deux pleurs jaillissait un éclat de rire. Il ne parvenait plus à se contrôler, semblait devenir totalement fou, en réalité. Lorsqu’il parvint enfin à se calmer, il se coucha en hoquetant sur le corps couvert de sang de son père, attrapant la main glacée de sa mère dans la sienne et resta ainsi, immobile.
Il aurait voulu mourir, ou bien que tout cela ne soit pas arrivé, qu’il ne soit pas l’auteur de ce crime atroce.
Alors qu’il commençait à fermer les yeux, ses larmes coulant sur son visage pâle, il sentit une main aux ongles acérés se poser sur ses épaules et se redressa, fixant de ses yeux rougies celui qui venait de le déranger.
Un hoquet de surprise le prit, et il se jeta aux pieds de son grand père, enserrant ses jambes de ses bras tremblants. Son aïeul lui caressa les cheveux tendrement, un sourire machiavélique sur les lèvres.

-Je…je ne voulais pas…ce n’est pas moi…j’vous en pris, grand père, croyez-moi, je ne…voulais pas, je n’ai pas désiré ça, je n’ai….je n’ai pas fais exprès…
-Je sais….je sais que tu ne voulais pas, Bélial, mais rend-toi à l’évidence, c’est toi l’auteur de ce crime atroce ! C’est toi qui viens de tuer ta propre mère et ton propre père !!

Les yeux de Bélial s’agrandirent alors sous l’effet de la terreur, il releva les yeux vers son grand père dont le sourire malsain n’avait pas quitté les lèvres.

-Mais…je…non ! Ce n’est pas vrai…je n’étais pas moi-même je…
-Chut…calme-toi ! Je sais…mais il faut que l’acceptes, désormais, tu vivras avec le souvenir de cette triste nuit, car c’est toi, Bélial qui a assassiné tes parents, c’est toi qui l’a voulu, qui a désiré leur mort…que dira ton pauvre frère lorsqu’il apprendra que son ainé à tué vos parents ? Pauvre Baal…ce sera un choc terrible pour lui…
-NON !!! Il ne doit jamais l’apprendre, jamais !!

Bélial venait de se relever et avait saisit son grand père par le col de son manteau, le visage déformé par la rage, tandis que le patriarche le regardait avec calme et amusement.
Bélial le lâcha prestement, se rendant compte de son erreur.

-Pa…pardonnez-moi, je me suis emporté….mais je vous en supplie, ne racontez rien à Baal…je suis près à endosser le crime immonde que je viens de commettre, mais par pitié, laissez Baal dans l’ignorance.

Son grand père lui fit un sourire des plus carnassier, à tel point que Bélial se recroquevilla un peu sur lui-même.

-D’accord…je ne lui en dirais pas un mot, mais pour cela…tu devras faire tout ce que je te demande ! Chaque fois que je te demanderai, tu devras être présent ! Je passerais avant tout…même avant ton frère…plus jamais tu ne devras avoir peur de le décevoir, et je ne veux plus jamais voir sur ton visage cette expression !!

D’abord choqué par les propos de son aïeul, Bélial acquiesça, son visage se transforma en un masque de dureté et d’indifférence, un masque qu’il gardera pendant de longues années.
Ce dont il ne se souviendra jamais…c’est que c’est à la demande de son grand père qu’il assassina ses parents. Le patriarche lui fera endossé le crime en le persuadant qu’il avait agit de son propre chef.

Deux siècles de cauchemars commencèrent pour Bélial. Chaque soir, alors qu’il aurait du se trouvé couché, son grand père le faisait mander et c’était bien pire qu’une torture qu’il lui faisait subir. Pourtant, Bélial gardait la tête haute et ne prononçait pas le moindre mot. Ses douleurs étaient muettes, car il refusait de les montrer à Baal, qui lui semblait aller parfaitement bien.
La seule chose qui parvenait encore à simuler le bonheur chez Bélial était ce sourire rayonnant qui fendait le visage de son cadet lorsqu’ils se voyaient. Et pourtant, Baal lui reprochait d’être moins souvent avec lui, pour cause, il était avec son grand père.
A mesure que le temps passait, Bélial sombrait peu à peu dans une folie des plus profondes. Son gout pour les tortures et les meurtres ne fit que s’accroitre, le rendant de plus en plus malsain et abjecte. Il semblait prédestiné à devenir complètement fou et son grand père observait avec beaucoup de satisfaction sa lente descente en enfer.
Bélial pouvait bien croire qu’il ne pouvait pas lui arriver pire abominations, et pourtant, il était loin d’être au bout de ses peines.

3 Juin 1516
-Baal !!! Je t’en pris, Baal répond-moi !! Répond-moi triple idiot !!!

Bélial avait beau s’acharner, son frère refusait catégoriquement de se réveiller. Il était inerte, gisant dans ses bras, des stigmates bleuâtres parcourant tout son corps.
Il s’était effondré en gémissant sur le sol alors qu’ils étaient tout deux dans le jardin du château, au crépuscule. Pour une fois qu’ils pouvaient sortir, il avait fallu qu’une évènement de se genre de passe !!
Alors que le médecin tardait à venir, Bélial s’angoissait de plus en plus.
[…]
"Est-ce grave ?"

Baal était allongé dans son lit, inanimé toujours mais en proie à une souffrance insupportable à en juger par ses gémissements de plus en plus important. Le médecin rangea son matérielle et fit un salut humble au Sang pur Bélial. Puis, il tourna un regard inquiet vers le jeune vampire. Celui-ci avait un bras recouvert de stigmates bleutés qui parcourait tout son bras et atteignait presque ses épaules et son cou.

"As-t-il déjà été malade ?"
"Non, rarement. Pourquoi cette question ?"
"Apparemment cette maladie est en lui depuis longtemps. Depuis sa naissance même."

Un rictus angoissé se dessina sur les lèvres de Bélial qui s'approcha du médecin vampire avec un regard loin d'être avenant.

"Que voulez vous dire par là ?"
"Rien du tout mon seigneur mais... il serait fort probable que les stigmates envahissent tout son corps dans une centaine d'année..."

Bélial saisit vivement le médecin par le col et le souleva de terre. Apeuré, celui-ci resta muet devant la réaction du sang pur. Celui-ci parla d'une voix à peine audible, un sifflement entre ses dents.

"Quel est le remède ? Et ne me dîtes pas que vous ne savez pas."
"C'est que... Je... Je pense qu'il lui faudrait boire plus que du sang ordinaire. Il lui faudrait du sang de pur qualité, du sang d'humain bien sûr."

Bélial reposa le médecin au sol qui s'empressa de remettre son costume en place. Sans s'excuser le vampire congédia le médecin et alla s'asseoir au chevet de son frère. Baal respirait avec difficulté et son bras était en piteux état. Il posa sa main sur celle de son jeune frère et ferma les yeux.

"Baal... Je te promets que je te soignerai... Je tuerai tous les humains si il le faut mais je ne te laisserai pas mourir... Chaque misérable humain qui se révélera un être "rare", je le capturerai et je te donnerai son sang jusqu'à ce qu'il meure... J'en fais le serment."
Cette menace avait été proférée avec tant de haine envers la race humaine, tant de désespoir, que pour la première fois de sa vie, Bélial aurait pu faire éprouver de la pitié à autrui.


Dernière édition par Bélial Vacaressco le Jeu 2 Oct - 18:27, édité 4 fois
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Bélial Vacaresco
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MessageSujet: Re: Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée)   Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée) Icon_minitimeMer 1 Oct - 13:23

La déchéance.
Les années qui suivirent forgèrent définitivement le caractère de Bélial. Il sombrait de plus en plus rapidement dans la folie, mais il y avait prit gout, elle était devenue une amie, une confidente pour lui et il appréciait sa cruauté et son sadisme naturel.
Son frère était toujours aussi malade, et Bélial continuait de tuer des centaines de milliers d’humains pour leur sang. Il prenait plus que plaisir à torturer ses victimes avant de les tuer, leur sang gardait un gout de peur et de terreur absolument exquis.
Alors que le grand père de Bélial était connu dans plusieurs pays pour son abominable cruauté et sa poigne de fer sur le sénat, Bélial ne tarda pas lui aussi à se faire connaître de tous les vampires du monde et des peuples humains de Roumanie. Il devint presque plus célèbre que son grand père.
Pour cause…ses actes étaient immoraux…


Une larme de sang pour une vie. Mars 1745.
Il faisait sombre, très sombre dans l’immense cachot souterrain du château. Pourtant, des yeux de vampires s’accommodaient parfaitement à cette semi obscurité et cela ne semblait pas gêner Bélial.
Aucune personne censée n’aurait souhaité entrer dans cette pièce. Partout, il y avait des cadavres à moitié décomposés dont les chairs se flétrissaient et s’arrachaient des os, de longues traces de sang séché maculaient les murs de pierre de la pièce, et des flaques rougeâtres jonchaient le sol.
Sur de petits présentoirs en argent ou sur des tables en bois luisaient des instruments si immondes qu’ils en étaient impressionnants.
Des pinces, des scalpels, des pointes, des baguettes de fer qui avaient été précédemment chauffée à blanc mais dont le métal était à présent tiède, des chiffons imbibés de sang, et toutes sortes d’instrument de torture moyenâgeux : une dame de fer immense, une vierge de métal, une roue…ils étaient si nombreux que l’on aurait cru se trouver dans le musée de la terreur.
Et au fond de cette pièce, il y avait une croix de bois sur lequel était cloué un jeune homme dont la tête ballottait dans le vide, les yeux révulsés. Ses mains dégoulinaient de sang, sa bouche étaient tordue dans un rictus d’horreur, et ses ongles semblaient avoir été arrachés.
Il était pourtant toujours en vie, un faible râle s’échappait de sa gorge. Il ne semblait plus capable d’émettre le moindre son, bien trop faible pour cela.
Il était plus que livide, et le bruit insistant et régulier d’un clapotis semblait l’avoir rendu complètement fou et amorphe.
Ce clapotis était produit par le sang du gamin qui s’écoulait goutte à goutte dans une bouteille en verre. Un tuyau était relié à son bras et pompait son sang, le vidant totalement de sa vie.
Et en face de lui, une vision cauchemardesque.
Bélial se tenait là, sa veste blanche maculée de sang, son visage taché lui aussi, les yeux d’un rouge rubis très prononcé fixant sa proie avec une froideur hors du commun.
Mais avant tout, son sourire était d’une grande cruauté, tant le sang pur semblait heureux et jubile à la vue de ce spectacle.
Il avait capturé un gamin d’à peine 17 ans, pas beaucoup plus jeune que Bélial physiquement, en réalité.
Il s’était amusé comme un enfant à lui découper les chairs, à le défigurer, à lui arracher et lui briser les membres…le jeune homme n’avait plus rien d’humain. Ses doigts semblaient avoir été brisés, ses côtes étaient affaissées dans son torse.
Il avait perdu énormément de sang, à tel point que Bélial en avait gaspillé à le torturer, mais c’était plus une drogue qu’autre chose, pour lui.
Il avait suivis les traces de son grand père et était devenu encore plus féroce et cruel que lui.
Et cela convenait très bien à Bélial qui avait prit plus que gout à la torture.
Il essuyait tranquillement ses ustensiles démoniaques, tandis que l’enfant rendait son dernier soupir.
Satisfait, Bélial ramassa la bouteille pleine et jeta le cadavre avec les autres et sortit de la pièce.
Il prit le soin de se changer avant de se diriger vers la chambre de son frère, malade.
Alors qu’il entrait, un sourire aux lèvres, il eut la très mauvaise surprise de voir que son frère n’était plus là.
Bélial lâcha la bouteille qui tomba au sol et se fracassa, laissant un flot de sang s’écouler et s’incruster dans la parquet.
Bélial entra dans une fureur folle, à tel point que les objets métalliques furent écrasés sous la pression, les objets fragiles brisés et la pression se fit anormalement lourde, déréglant le temps extérieur.
Bélial envoya tous ses serviteurs fouiller la propriété, les alentours, et aucun ne refusa et se donna au maximum, tant la colère de leur maître était grande.
Il en envoya même chercher Baal dans tout le pays, mais il fallait se rendre à l’évidence…
Baal avait bel et bien disparu.
Les crises de folie de Bélial se firent alors bien plus régulières et plus violentes. Il continua à tuer et torturer encore plus qu’à l’accoutumé, dévastant le pays comme une épidémie.
Il était à présent seul dans son château, mais il finit par s’habituer à cette solitude, après tout, il avait vécu 500 ans seul, sans frère.
Le caractère de Bélial devint celui d’un homme posé et calme, tout le contraire de ce qu’il était en réalité.


En 1896, son grand père fut tué, sous ses yeux et Bélial ne fit pas le moindre mouvement pour l’aider. Ce grand père l’avait protégé, certes, mais il avait détruit sa vie, ce pourquoi Bélial ne bougea pas.
Il resta de marbre et ne tenta rien, si bien que le chasseur lui laissa la vie sauve, grave erreur de sa part.
Après la mort de son aïeul, Bélial aurait du prendre la tête du sénat, ce qu’il refusa catégoriquement, au grand soulagement des autres vampires qui voyaient assez mal un fou à leur tête.
Bélial gagna l’Angleterre, où Londres fut victime d’une épidémie semblable à celle qui avait touchée la Roumanie, quelques années auparavant.
Lorsqu’il fut lassé, et voyant que Baal ne se trouvait pas en Angleterre, il gagna le Japon, pays d’origine de son père.


1923, Osaka, Japon.
Il faisait sombre dans la ruelle ce soir là. On n’aurait pas eu idée de s’y promener, et pourtant, il y avait un homme qui y marchait tranquillement.
Un long manteau de noble noir, richement vêtu, sa longue chevelure d’argent étant attachée en queue de cheval dans son dos.
C’est alors qu’il vit une pauvre fille gisant au sol.
Il s’arrêta devant elle et s’adossa au mur, la regardant avec amusement et pitié. Etant vampire, Bélial aurait pu se jeter tout de suite sur la souillon et la mordre, mais il était amateur de raffinerie et ne supportait pas la saleté dans sa nourriture.
De plus, l’odeur qui se dégageait de la fillette n’était pas celle d’un humain.
C’était un vampire, et pas n’importe quel vampire…c’était un sang pur. L’aura qui se dégageait d’elle ne pouvait qu’être celle d’un sang pur.
Et pourtant, elle était bien pitoyable pour une sang pur. Sa robe blanche était en haillon et tâchée de sang et de terre. Son visage était lui aussi maculé de boue, égratigné, et elle était recroquevillée sur le sol, tel un insecte.


-Si ce n’est pas pitoyable de voir ça…de nos jours, les sang pur sont pourtant si rares…tu fais franchement honte à notre race, gamine !

Bélial ricana méchamment. Il prenait plaisir à la savoir en mauvaise posture face à lui.
Il s’approcha alors de la fillette, s’agenouilla devant elle prit son menton entre ses doigts.


-Tututu…pathétique ! Regardes-toi…tu fais vraiment pitié ! Te saurais-tu battue avec une souris ou un chat par hasard ?

Une fois de plus, le sang pur ricana. La jeune fille, qui semblait pourtant très faible, le saisit au col et le cloua sur le sol. Celui-ci garda pourtant un léger sourire aux lèvres, le regard froid et calme. Il attendait patiemment que ça se passe.

-Qui vous êtes pour vous permettre de m’insulter ainsi, vieux débris ? Je ne reçois d’ordres et de réprimandes de personne !
-Ohoh !! C’est qu’elle a de la répartie la petite ! Je ne fais que constater, vois-tu…tu es misérable et pitoyable, c’est pas mon problème, j’y peux rien si t’es sale comme une souillon, gamine !


Ses paroles eurent le don de faire hésiter la gamine, laissant la temps à Bélial de reprendre le dessus et lui emprisonner les mains dans les siennes.
C’est alors qu’une nuée de corbeaux s’abattit sur l’homme, lui lacérant le visage. Il les repoussa avec son pouvoir et se releva.


-Je vois…tu possèdes là un don bien étrange et particulièrement intéressant…plutôt que de rester là à crever dans le froid…que dirais-tu de m’accompagner et de m’aider ? Je manque de compagnie et tu m’as l’air particulièrement…sympathique…

Bélial lui tendit la main, un sourire énigmatique sur les lèvres. D’abord hésitante, la gamine finit par le suivre.
Le sang pur lui enseigna la plupart des choses qu’il savait et elle l’accompagnait dans la plupart de ses crimes.
Elle portait le nom d’Egnirys. Si l’on avait du lui donner un âge humain, elle ne devait pas avoir plus de 15 ou 16 ans, et pourtant elle semblait aussi folle et cruelle que Bélial.
Tout comme lui, elle aimait détruire des vies, entendre les hurlements de douleur, de peur, de sentir l’angoisse chez ses victimes…ils étaient identiques sur plusieurs points…sauf sur un. Egnirys ne recherchait rien en particulier, tandis que Bélial recherchait son frère Baal.
Pendant plusieurs décennies, ils parcoururent le monde ensemble, semant la terreur partout où ils allaient. La célébrité de ce duo infernal n’était plus à faire.


26 Août 2007
Bélial et Egnirys étaient retournés au Japon depuis quelques mois seulement. Bélial se tourna vers Egnirys, les yeux étincelants.


-Je pense t’avoir appris suffisamment de choses, Egnirys…Tu vas pouvoir te débrouiller seule, maintenant…je me suis bien amusé pendant ces quelques années passées en ta compagnie, mais c’est terminé, je m’en vais. J’ai quelque chose à accomplir depuis de trop nombreuses années.

C’est sur ses mots que Bélial laissa Egnirys seule dans le froid et partit à la recherche de son frère. Il ne savait réellement s’il avait envers lui des envies de meurtres ou bien une forte déception, toujours est-il qu’il avait envie de le revoir. Surtout pour s’assurer qu’il était toujours en vie, en réalité.
Son expédition fut interrompue par l’arrivée inattendue d’un groupe de chasseurs vampires qui, le reconnaissant, se lancèrent à sa poursuite. Bien qu’étant un sang pur et donc protégé par le sénat, Bélial était un vampire de la pire espèce, un danger pour les deux peuples, ce pourquoi les chasseurs avaient prient l’autorisation de le traquer, ce que le sénat n’approuvait ni ne désapprouvait.
Après s’être débarrassé d’une dizaine de chasseurs, Bélial comprit qu’il ne servait à rien de tous les éliminer, ils étaient bien trop nombreux.
Il chercha alors un endroit où s’abriter et se souvint d’une fameuse académie dans laquelle vampires et humains pouvaient vivre en collectivité.
Bien que cela lui coute de se trouver à seulement quelques mètres d’une classe d’humains, il ne voyait pas d’autres solutions envisageables et se dirigea vers l’Académie Cross.
Il y fut accueillit par le directeur méfiant et surtout très peu enclin à le voir intégrer l’Académie, mais il n’avait pas le choix. Bélial était un sang pur, donc privilégié, et il aurait pu le tuer d’un simple geste de la main.
Il fut attribué à Bélial le poste de professeur de Sciences, mais uniquement pour la Night Class. Il risquait de terroriser ou encore faire des ravages dans la Day Class.
C’est en maugréant que Bélial accepta le poste. Il n’avait plus aucun moyen de sortir sans risquer de se faire de nouveau attraper par les chasseurs, et donc ne pouvait plus chercher son frère. Décidemment, il s’était fait avoir sur toute la ligne !
Il ne s’en formalisa pas, plutôt…content de se trouver près d’un nid d’humains, en fin de compte…nourriture à volonté, voilà ce que ça signifiait.

C’est donc avec surprise que les élèves de la Night Class vont découvrir leur nouveaux professeur de sciences…aucun d’eux ne s’imagine avoir comme professeur l’un des sang pur les plus tristement célèbres de l’Histoire…


[Voilà, cette fois, elle est terminée mon histoire^^ Désolé pour la longueur, mais bon, en 1500 ans, on a la temps d'en faire des choses surtout pour un type comme Bélial!^^]


Dernière édition par Bélial Vacaressco le Jeu 2 Oct - 18:41, édité 1 fois
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Hanabusa Aidô
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MessageSujet: Re: Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée)   Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée) Icon_minitimeMer 1 Oct - 14:40

Bon bah...j'me valide!^^
Mais je vais attendre que tu viennes y jeter un coup d'oeil Katara-chan, après tout, t'as peut-être ton mot à dire!^^
(oui je sais je suis très obéissant! XD)
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MessageSujet: Re: Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée)   Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée) Icon_minitimeDim 5 Oct - 12:21

Oops, j'avais pas vu ça !! Mais bien sur que c'est ok mon ange !! Tu peux t'auto-valider !! Tu es quand même le maître à bord !!!! <3
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Hanabusa Aidô
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MessageSujet: Re: Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée)   Un sang pur démoniaque entre en scène...(terminée) Icon_minitimeDim 5 Oct - 12:23

Ytattaaaa! XD J'suis l'grand manitou!^^
(faut pas flooder ici...faut que j'arrête^^)
Nan mais j'préfèrais avoir ta validation à toi que la mienne, parce que bon j'aurais pu ne pas respecter les règles! XD
bon bah sur ce, je vérouille et déplace!
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